C'est un Alsacien qui monte dans un train.
Dans le compartiment se trouvent déjà deux hommes en costumes et cravates qui tapent sur leur ordinateur.
Notre brave Alsacien s'installe près de ces 2 hommes et commence à manger un sandwich au mettwurscht.
Au bout de quelques minutes, il demande à l'un des deux hommes en costume, avec un fort accent alsacien :
- Puiche-je savoir où vous s'allez ?
Les deux hommes se regardent en riant. Le premier fait un clin d’œil au second, et répond en imitant l'accent alsacien :
"Moi, che vais à PARISS"
L'Alsacien pense avoir mal compris et répond :
- "Parissss ?"
Et le voyageur rétorque :
- "OUI, PARIS avec deux S !!!"
L'Alsacien se demande pourquoi Paris avec deux s mais n'en rajoute pas et continue à déguster son sandwich au mettwurscht.
Un peu plus таrd, il s'adresse à l'autre homme et lui demande :
- "Et vous, où allez-vous ?"
- "Et bien moi, répond le deuxième homme, également d'un air moqueur, che vais à Bordeauxxx, avec deux X !!!"
Le deux hommes pouffent de rire.
L'Alsacien, qui comprend qu'ils se moquent de lui, ne répond pas.
Tout à coup l'un des deux hommes se tourne vers l'Alsacien et lui demande :
- "Et toi, où vas-tu ?"
- "Et bien moi, j'vais à Macon... avec deux cons !"
Un Parisien, un Marseillais et un Alsacien sont en vacances, lorsqu'ils reçoivent la visite d'un génie maléfique !
Le génie leur dit : Jetez n'importe quoi dans la mer, si je le retrouve vous mourez. Si je ne le retrouve pas, vous resterez en vie.
....
Tous les trois se creusent la tête pour trouver un objet que le génie ne pourra pas récupérer...
....
Le Parisien commence, il jette une clef dans la mer. Le génie plonge et retrouve rapidement la clef. Le Parisien meurt.
C'est au tour du Marseillais. Il jette une aiguille dans la mer. Le génie plonge, il cherche un peu plus longtemps mais finit par trouver l'aiguille. Le Marseillais meurt.
Arrive le tour de l'Alsacien. De toutes ces forces, il jette un petit objet dans la mer. Le génie plonge, cherche, cherche, cherche, recherche et recherche encore. A bout de force, il s'avoue vaincu.
Le génie rejoint l'Alsacien : "Bravo, tu as gagné ... mais enfin, qu'as-tu donc jeté ?
....
Et l'Alsacien répond : " Yo, moi j'ai jeté un Efferalgan ! "
L'histoire se passe à Breuschwickersheim un petit village alsacien (comme son nom l'indique).
Seppi, le simplet du village, passe toutes ses journées dans la cabine téléphonique (oui, à Breuschwickersheim il y a encore des cabines téléphoniques), mais sans jamais composer un seul numéro, juste à écouter dans le combiné.
Robi, le maire, finit par aller le voir :
- Hé Seppi, pourquoi tu passes tout ton temps dans la cabine téléphonique ?
- Yoh, moi j'aime ça (net !).
- Ah voilà. Mais pourquoi tu aimes ça ?
- Ben, je décroche le combiné et je pose plein de questions. Par exemple : "Qui c'est le plus beau ?" ou "Qui c'est le plus intelligent ?"
- Et ???
- Et on me répond "Tüü, tüü, tüü..."
Seppi et Philomène sont en vacances à Marseille.
Philomène envoie son Seppi faire les courses au supermarché. Arrivé sur place Seppi sort son petit billet.
Premier achat : Fischer Bier.
Seppi cherche dans le rayon des bières mais ne trouve pas de Fischer Bier. Il s'adresse donc au chef de rayon :
- Meussieu, hopla, vous avez pas de bières Fischer ?
- Nous avons toutes sortes de bières, Heineken, Kronenbourg, Corona.... Mais pas de Fischer.
Deuxième achat : vinaigre Melfor.
Seppi ne le trouve pas non plus. Une fois de plus il s'adresse au chef de rayon :
- Meussieu, vous n'avez pas de vinaigre Melfor ?
Désolé, nous ne connaissons pas ce vinaigre ici. Mais est-ce que vous cherchez encore d'autres choses, car je dois m'absenter ?
Seppi regarde la liste sur laquelle il est marqué "Beurre gynécologique"
Réponse du vendeur :
Alors ça je ne connais pas du tout ! Ça doit se trouver en pharmacie je pense....
Seppi n'en peut plus, il sort son téléphone portable et appelle sa Philomène :
- Hé, dü ! Wàs esch den dàss, dr "beurre gynécologique" ?!!
- Seppi dü besch doch a rechtiga Doddel ! Dàs esch doch Schnackabutter ! Je te l'ai extrà marqué en français pour que les Hasabeck comprennent !