Blague sur les métiers, Blagues commerce
Une dame, qui pousse, dans un supermarché, un caddie bourré de ses achats, s’impatiente en faisant la queue à la caisse.
- Vous ne pourriez pas vous presser un peu, demande-t-elle à la caissière qui passe, paisiblement, les articles des précédents clients au scanner. Voyez-vous, j’en ai au moins pour 300 euros et, si ça traîne encore longtemps comme cela, au moment de payer, mon tranquillisant aura cessé de me faire effet.
Une bourgeoise, qui s’est égarée dans un quartier populaire, s’arrête devant l’étalage d’un marchand de volailles.
Elle agrippe un canard, lui sent le croupion et le repose en disant, d’un air dégoûté :
- Il ne sent pas bon.
Quand elle a eu fait trois fois de suite le même manège, le marchand, exaspéré, s’approche et lui dit :
- Dis donc, ma mignonne, si tu veux bien me suivre dans l’arrière-boutique et te mettre à poil, j’aimerais te faire subir le même test : Et ça m’étonnerait bien que tu fasses un sans-faute.
Nous sommes samedi. Un jeune garçon vient d’être embauché comme vendeur dans une grande surface.
Le patron se déplace personnellement pour lui montrer comment bien vendre :
- « Regarde-moi faire » dit le patron en s’approchant d’un client qui venait à peine d’entrer.
- Puis-je vous aider Monsieur ? dit le patron.
Le client lui répond :
- Je viens juste d’emménager dans ma nouvelle maison et je voulais de l’engrais pour mon gazon.
Le patron répond :
- Très bien monsieur. Nous avons des sacs de 10 et de 25 kg. Je vous suggère de prendre le sac de 25 kg.
- Pourquoi cela. Ne serait-ce pas un peu trop ?
- Eh bien, le sac de 25 kg vous permettra de tenir une année complète, alors qu’avec le sac de 10 kg, vous serez à cours pendant l’été ! répond le patron.
- Très bien, je prends le sac de 25 kg. répond le client.
- Parfait Monsieur. Et quelle sorte de râteau allez vous utiliser ?
- Un râteau ? Pourquoi devrai-je utiliser un râteau ?
- Monsieur, si vous ne passez pas votre gazon au râteau avant de mettre de l’engrais, les granulés d’engrais n’iront pas au contact du sol et n’auront aucun effet… répond le patron.
- Dans ce cas, mettez-moi un râteau en plus.
- Très bien Monsieur. Et avec cela, je vous met un arroseur fixe ou un arroseur oscillant ?
Le client commence à être agacé et répond sèchement :
- Un arroseur ? Hé, je suis juste venu acheter de l’engrais. Pourquoi devrais-je en plus prendre un arroseur ?
Le patron répond toujours calme :
- Eh bien monsieur, par ici, le climat est assez sec, alors, si vous arrosez juste après avoir fertilisé votre gazon, l’engrais aura un effet maximal et vous aurez certainement le plus beau gazon parmi tous vos voisins.
Encore une fois, le client se laisse faire.
Et le patron continue :
- Je parie que vous n’avez pas de tondeuse ? Gagné. Voulez-vous plutôt une tondeuse à essence ou une tondeuse électrique ?
- UNE TONDEUSE ? Vous m’avez déjà vendu un râteau et un arroseur en plus de l’engrais. Vous ne trouvez pas que ça suffit ?
Le patron, toujours calme lui répond :
- Un gazon fraîchement semé doit être tondu dès que possible. C’est ce qui permet de le rendre le plus dru, et donc le plus beau. En le tondant au plus tôt, votre gazon sera aussi beau que celui d’un green de golf ! D’autre part, notre promotion sur les tondeuses se termine ce samedi.
Le client lui répond :
- C’est d’accord, je cède, mettez-moi une tondeuse électrique en plus…
Après que l’homme soit sorti du magasin avec tous ses achats, le patron va voir le nouvel employé et lui dit :
- Alors, tu penses que tu arriveras à faire ça ?
L’employé répond que ça devrait aller. Du coup, le patron le laisse aborder un nouveau client. Le nouvel employé s’approche du client :
- Puis-je vous aider Monsieur ?
L’homme répond :
- Oui. J’ai besoin de tampons pour ma femme.
Le nouvel employé est estomaqué par la demande du client. Il ne s’attendait pas à un truc comme ça. Comme il veut malgré tout impressionner le patron favorablement, il réfléchit et soudain, il trouve la solution :
- Très bien Monsieur. Et voulez-vous une tondeuse à essence ou une tondeuse électrique avec ça ?
- Une tondeuse ? Ça ne va pas dans votre tête ? Je suis venu pour des tampons pour ma femme. Pourquoi aurai-je besoin d’une tondeuse à gazon en plus ?
L’employé répond :
- Et bien Monsieur, si je puis me permettre, comme vous êtes venu acheter des tampons pour votre femme, je pense que ferez une croix sur les galipettes ce week-end. Alors autant tondre la pelouse…
Une femme marche dans un magasin qui vend des couvertures persanes très chères. Elle regarde autour d’elle, repère la couverture parfaite et marche vers elle pour mieux l’apprécier. Lorsqu’elle se mit à sentir la texture du tissu, elle lâcha un pet bruyant. Très embarrassée, elle regarda nerveusement autour d’elle, pour voir si quelqu’un avait remarqué ce petit incident et souhaita qu’aucun vendeur ne s’adresse à elle juste à cet instant.
Lorsqu’elle se retourna, elle se trouva directement face à un vendeur :
- « Bonjour, Madame, puis-je vous aider ? »
Très mal à l’aise, elle demanda :
- « Combien coûte cette magnifique couverture ? »
Il répondit :
- « Madame, si vous pétez juste en la touchant, vous allez en chier quand vous allez entendre son prix ! »
Dans une droguerie, une dame demande à un vendeur :
- Avez-vous de l’eau de Javel ?
- Non, répond le vendeur.
La cliente, déçue, s’en va.
Le patron, qui a entendu cette conversation, se précipite sur le malheureux vendeur qu’il secoue comme un prunier.
- Espèce d’imbécile ! Lorsque vous n’avez pas l’article que désire le client, il faut lui en proposer un similaire. Cette femme voulait de l’eau de Javel ; vous pouviez très bien lui vendre de l’Ajax ou n’importe quel produit nettoyant. Tâchez de vous en souvenir, à l’avenir.
Effectivement, un monsieur s’approche et interroge :
- Avez-vous du papier hygiénique ?
- Non, répond le vendeur..: Mais j’ai de l’excellent papier de verre.
- Bonjour, dit un homme en entrant dans une petite boutique de vêtements. Je viens chez vous parce que j’ai horreur de marchander :
- Alors, répond le commerçant, vous ne pouvez pas tomber mieux. Qu’est-ce qui vous tente, chez nous ?
- Ce jean. Combien vaut-il ?
- Il est affiché à 190 euros, mais je ne vais pas vous en réclamer 170 euros. Ni même 150 euros. A titre amical, je vous le laisse à 120.
- Votre manière de faire des affaires me plaît : C’est pourquoi je ne m’abaisserai pas à vous offrir seulement 60 euros, ni même 80, Si vous me le faites à 100, je le prends.
- Disons 110 et n’en parlons plus !
- Marché conclu ! Et ce que c’est agréable, à notre époque, de pouvoir faire ses achats sans être obligé de tout marchander !