Un homme écrit pour réserver une chambre d’hôtel dans une station balnéaire très chic :
- Veuillez me retenir une chambre, au bord de la piscine, avec salle de bains, petit salon, bar, etc., etc.
Quand, plusieurs jours plus таrd, il descend dans cet hôtel, il trouve dans sa chambre deux ravissantes jeunes filles qui l’aident à installer ses affaires et qui ne semblent pas vouloir se retirer. Au bout d’un moment, il leur demande :
- Mais enfin, qui êtes-vous ?
- Nous sommes les deux etc.
Un client entre chez son horloger et lui explique son problème :
- Madame, c’est dramatique… C’est le neuvième réveil que je viens vous acheter et rien n’y fait… Chaque matin, impossible de me réveiller, alors chaque fois je suis viré de mon emploi !
- Cher monsieur, vous êtes, en effet, notre meilleur client, mais cette fois-ci je crois que je vais vous perdre… En effet, nous venons de recevoir un modèle avec ordinateur !
- Ah oui, et que fait-il ?
- Eh bien, d’abord, il sonne… Si vous ne bougez pas il déclenche un bruit de tremblement de terre et fait bouger votre lit… S’il n’y a toujours pas de résultats, il déverse sur vous un puissant jet d’eau froide… Et si là vos orteils ne sont pas sur le plancher, il téléphone à votre bureau et prévient que vous êtes souffrant.
Charlie-le-massacreur, un énorme catcheur avec des bras gros comme ça, entre dans un bar et commande un double whisky. Il le vide d’un trait et en commande immédiatement un autre.
- Oh, et puis allez, j’offre une tournée générale ! lance-t-il à la cantonade.
Le patron sert tout le monde, puis présente l’addition au terrible Charlie.
- Laisse tomber, petit, fait le catcheur. Moi, je ne paie jamais.
- C’est ce qu’on va voir ! hurle le patron, furibond.
Il se précipite au-dehors, avise un agent de police et lui explique son cas.
- Un mauvais payeur, hein ? fait le flic. Ne vous en faites pas, je vais vous régler ça rapidement.
Mais quand il entre dans le café et qu’il voit le monstrueux Charlie-le-massacreur, le malheureux policier se sent défaillir.
- C’est lui qui refuse de payer ? demande-t-il.
- Oui, c’est lui, répond le patron. Alors, qu’est-ce que vous attendez ! Vous m’aviez dit que vous me régleriez ça rapidement !
Alors le flic, superbe :
- Monsieur, la police nationale n’a qu’une parole. Je vous dois combien ?