Ça se passe pendant la deuxième guerre mondiale. Les Allemands s’apprêtent à envahir un petit village près de Bruxelles et les Belges se disent :
- On n’a qu’à se cacher dans le puits du village, comme ça les Allemands nous trouveront pas !
Mais un autre Belge rétorque :
- C’est bien gentil mais tout de même ! Et si l’officier allemand vient parler au bord du puits, il s’apercevra forcément qu’il n’y a pas d’écho, puisqu’on sera au fond...
- Ben c’est pas grave, je ferai l’écho !
Alors ils se cachent, et cinq minutes après un officier allemand arrive au bord du puits en disant :
- Ah ben ça alors ! Il n’y a personne, dans ce village ?
Et au fond du puits le Belge répète :
- Il n’y a personne dans ce village, village, village ?
- Je me demande où sont passés les habitants !
- Je me demande où sont passés les habitants, bitants, bitants !
- Peut-être qu’ils sont allés se cacher dans la montagne !
- Peut-être qu’ils sont allés se cacher dans la montagne, tagne, tagne !
- A tout hasard, je vais quand même jeter une grenade au fond de ce puits.
- C’est pas pour dire, mais je crois quand même qu’ils sont allés se cacher dans la montagne, tagne, tagne !
Ce sont deux gars dans un bar de Mouscron (Belgique). Il y a un petit (français) et une armoire à glace belge (il travaille à l'abattoir).
Le français dit au belge :
- Hé, dis, tu veux que je te raconte une histoire belge?
- Ouais, vas-y! Mais je te préviens d'abord que je SUIS belge... Et eux aussi SONT belges d'ailleurs ce sont mes frères, dit l'armoire à glace en allant chercher deux autres types énormes à la table d'à côté.
Un des deux frères va ensuite vers une autre table où se trouvent 4 autres armoires à glace belges et les belges se ramènent en disant.
- Et nous on est leurs cousins, et on est belges nous aussi.
Et sur ces entrefaites, un troupeau d'armoires à glace, belges à n'en pas douter, fait son entrée dans le bar.
Alors le premier belge en profite pour demander au petit français :
- Alors, tu veux toujours la raconter ton histoire belge, une fois ?
- Non, répond le français.
- Et pourquoi pas ? Tu as peur ?
- Non, c'est pas ça. C'est juste que j'ai pas envie de l'expliquer 5 fois.
Un jeune homme se lève le matin et décide d'aller se faire dépuceler. Il prend des sous dans sa tirelire, croise quelques femmes, qui refusent.
Désespéré, il va voir une grand-mère qui, elle, accepte. La première fois, il sent que c'est tout rugueux, alors que la seconde, c'est super liquide. Intrigué, il lui demande pourquoi, alors elle répond :
- Tu vois petit, la première fois, tu as décollé les croûtes et la seconde, c'était le pus qui coulait.
Un Belge en vacances à Cannes. Lorsqu'il a épuisé ses maigres économies, il commence à errer dans les beaux quartiers espérant trouver un petit job salvateur. Après avoir sonné à de nombreuses portes et n'ayant reçu que des refus, il s'adresse à un indigène taillant la haie de son jardin :
- J'ai faim, donnez-moi un petit travail, vous ne serez pas déçu...
L'autre perplexe :
- OK, pour un bon repas vous allez me repeindre le porche au fond de l'allée !
Et il lui le donne le matériel nécessaire.
4 heures plus таrd, le premier revient, couvert de peinture verte, exténué mais ravi à l'idée de bien manger :
- Alors, cette peinture, c'est terminé ?
- Oh oui, c'est pas encore sec... Mais juste une remarque, ce n'est pas un porche hein, j'ai bien regardé, c'est une Mercedes...!
C’est un Belge qui va dans un restaurant de fruits de mer, il appelle le garçon et lui demande :
- Je voudrais des moules avec des frites, comme d’habitude, quoi…
On lui sert les moules, les frites, le plateau de fruits de mer avec les huîtres, les bigorneaux, les tourteaux, tout ça sur du goémon pour faire joli, et le Belge mange. Au bout d’un moment, le maître d’hôtel vient le voir et lui dit :
- Ça va ? Monsieur se régale ?
- Ah ça, écoutez ! La salade elle est воnnе, mais elle est pleine de cailloux, hein !