Blague sur la police, Blagues sur les policiers

Un maître-chien fait équipe avec une jeune inspectrice.
Leur mission du jour est de patrouiller dans le quartier chaud de la ville en compagnie de Rintintin, le berger allemand. Ils se baladent depuis quelques minutes, lorsque l’inspectrice dit :
- « Ah ça m’embête tu sais, j’étais à la bourre ce matin, et j’ai oublié de prendre des serviettes périodiques. Le problème, c’est que les anglais ne vont pas tarder à débarquer et j’aimerais autant pas que ça soit sur mon pantalon ! On va devoir retourner au poste, pour que je les prenne au vestiaire ! »
Le maître-chien répond :
- « Bah, inutile de retourner au poste. Tu n’as qu’à te laisser sniffer par Rintintin et tu vas voir, dans dix minutes, il est de retour avec ta boite de Vania. »
L’inspectrice se met à rigoler de la proposition saugrenue, et elle se laisse convaincre. Le maître-chien prend alors Rintintin par le collier et lui fait sniffer l’entrejambe de l’inspectrice. Le berger allemand colle sa truffe contre le pantalon, sniffant les odeurs et reniflant bruyamment, puis, une dizaine de secondes plus таrd, ses oreilles se redressent, il place sa truffe dans le vent, et en un éclair, il file seul vers le poste de police.
Cinq minutes plus таrd, pas de Rintintin… Dix minutes plus таrd, toujours pas de Rintintin…
Quinze minutes plus таrd, les deux policiers commencent à paniquer. Ils se disent qu’ils ont fait une grosse connerie, surtout lorsqu’ils entendent des sirènes de police qui semblent se rapprocher ?
Les sirènes sont maintenant à deux pâtés de maison, et voici soudain Rintintin qui arrive en courant, suivi de près par douze voitures de police ! Rintintin tient quelque chose dans la gueule ; mais ce ne sont pas les Vania de l’inspectrice, non, non : ce sont les couilles du commissaire !

Un homme en voiture avec sa femme se fait arrêter par la police sur le bord d’une route. Le policier s’avance vers la voiture et annonce au conducteur :
- Bonjour Monsieur. Vous rouliez à 145 dans une zone limitée à 110.
- Oh non, m’sieur l’agent. Je roulais à peine à 105.
Assise à ses côtés, la femme prend la parole :
- Voyons, Robert ! Tu roulais au moins à 140, si ce n’est pas plus.
L’homme lance un regard noir à sa femme, mais avant qu’il n’ait pu dire quoi que ce soit, l’agent lance :
- Je vais également devoir vous verbaliser pour votre lumière arrière qui ne fonctionne pas.
Le type tente à nouveau de se défendre :
- La lumière arrière ne marche pas ? Je ne le savais vraiment pas…
Lui coupant la parole, sa femme lui dit :
- Mais enfin Robert ! Cela fait des semaines que tu le sais et que tu ne fais rien pour la réparer.
Le type est furieux et ce n’est que la présence du policier qui l’empêche de crier après son épouse. Et malheureusement pour le pauvre homme, le policier continue la liste des infractions :
- Je vais aussi devoir vous donner une contravention, car vous ne portiez pas votre ceinture de sécurité. Le type essaie une nouvelle fois de se plaider sa cause auprès du policier :
- Mais je la portais, m’sieur l’agent. Je l’ai détachée après que vous m’ayez arrêté, pendant que vous marchiez vers l’auto.
Mais sa femme intervient à nouveau :
- Enfin Robert ! Ne dis pas n’importe quoi, tu ne mets jamais ta ceinture !
L’homme est en furie et ne peut plus contenir sa colère : il se retourne vers sa femme et lui crie :
- Veux-tu bien fermer ta grande gueule, espece de соnnаssе !
L’agent se penche alors et demande à la femme :
- Est-ce que votre mari vous parle toujours comme ça ?
Et la femme de répondre :
- Oh non, monsieur l’agent ! Seulement quand il est ivre…