C'est un pirate, un vrai, avec une jambe en bois, un bandeau et tout ce qu'il faut.... Seulement, il a un menu problème: dès qu'il est dans le noir, eh ben, en fait, c'est plus fort que lui, il éjacule sans aucun contrôle....
Un jour qu'il était en mer, lors d'une grosse tempête, son bateau coule. In extremis, il trouve un tonneau où il entre pour se laisser dériver. Seulement voilà: dans le tonneau, il fait tout noir... et le tonneau dérive 3 mois (il avait pris des provisions), !!
Au terme de ces trois mois, le tonneau s'échoue sur une ile inconnue. Le pauvre pirate ressort dégoulinant, je vous fait pas un dessin. Il en a partout. Il est heureusement accueilli par quelques bonnes soeurs. Elles le logent, le nourrissent, le blanchissent...
Jusqu'au jour où une воnnе soeur tombe enceinte.
La mère supérieure entre dans la chambre du pirate.
- On vous offre l'hospitalité, et vous, vous violez une religieuse? C'est honteux !
- Non, ma mère, j'vous jure...
- Ne vous foutez pas de moi ! Si vous recommencez, Vous serez remis à la mer!!
Le pirate ne comprend pas. En fait, c'est pas faute d'essayer, mais aucune religieuse n'a cédé à ses avances. Et pourtant, 1 mois plus таrd, rebelote !
- Alors monsieur le pirate!!! ça commence à bien faire ! Vous avez encore rendue une nonne enceinte!
C'est forcément vous car vous êtes le seul homme sur cette ile!
- Mais...
- IL SUFFIT !
Et la mère supérieure l'expulse dans une cabane, enfermé 24h/24.
Pourtant, 45 jours plus таrd, une troisième воnnе seur est en cloque.
- Pirate, ìl faut m'expliquer maintenant. Je vous ai enfermé alors comment êtes-vous parvenu à rendre ctte troisième religieuse enceinte?
- Mais non, je ...
- Allez, franchement...
- Au fait, mon tonneau, qu'est-ce que vous en avez fait ?
- Des bougies, pourquoi ?
Il y a longtemps vivait un officier de l'armée royale nommé Capitaine Bravado. C'était un homme, un vrai de vrai, qui ne montrait aucune peur lorsqu'il faisait face à ces ennemis.
Un jour, alors qu'il naviguait sur les 7 mers, il vit un bateau pirate approcher. Son équipage était très nerveux. Le capitaine Bravado cria :
- Allez me chercher ma chemise rouge!
Le premier officier alla chercher la chemise rouge du capitaine qui aussitôt l'enfila. Il mena alors son Équipage à la bataille et tua tous les pirates.
Ce soir-la, tous les hommes étaient assis dehors et fêtaient leur victoire.
L'un d'eux demanda au capitaine :
- Capitaine, pourquoi avez-vous demandé pour votre chemise rouge avant la bataille?
Le capitaine répondit :
- Si j'avais été blessé pendant l'attaque, mon sang n'aurait pas paru sur la chemise. Et les hommes auraient continué de se battre sans peur.
Tous les hommes le regardèrent avec admiration : ´ Quel homme courageux!
Comme le Soleil se levait le lendemain matin, les marins virent non pas un, non pas deux, mais DIX bateaux pirates qui approchaient. L'équipage regardait dans un silence horrifié et attendait les ordres du capitaine. Le capitaine Bravado regarda tranquillement les 10 bateaux, dévisagea ensuite son premier officier et lui dit calmement :
- Allez me chercher mon pantalon brun!
Un 747 est au-dessus de l'Atlantique lorsqu'un pirate de l'air fait irruption dans la cabine de pilotage et pointe un pistolet contre la tempe du pilote :
- Menez cet avion jusqu'en Irak ou je vous éclate la cervelle !
Le copilote lui répond calmement :
- Je serai vous, j'éviterai de pointer mon arme sur le pilote : il a le coeur fragile. Et quant à moi, je serai bien incapable de vous mener là où vous le souhaitez si il meurt...
Le pirate de l'air réfléchit alors deux secondes, puis il pointe son arme sur le mécanicien et dit :
- OK maintenant, faites comme j'ai dit, sinon c'est sa cervelle qui explose !
Mais le mécanicien répond tout de suite :
- Je ne ferai pas ça si j'étais vous : le pilote et le copilote ne sauront pas atteindre l'Irak sans mon aide. Si vous me tuez, cet avion ira directement dans l'océan et c'est tout !
Alors le pirate réfléchit à nouveau deux secondes, puis il pointe son arme vers l'hôtesse de l'air et dit :
- Bon maintenant, vous allez détourner l'avion vers l'Irak ou je lui éclate la cervelle !
Personne ne répond quoi que ce soit... mais l'hôtesse chuchote alors quelque chose à l'oreille du pirate de l'air, qui ne tarde pas à rougir, puis il laisse tomber son arme et quitte le cockpit en courant, affolé ! L'équipage se met alors à sa poursuite et ils finissent par le bloquer dans un coin de l'avion. Le pilote demande alors à l'hôtesse ce qu'elle lui a raconté pour lui faire perdre tous ses moyens :
- Je lui ai dit que s'il me tuait, c'est lui qui serait obligé de tailler des pipes à vous trois.
Jack le borgne est un grand pirate : il navigue dans les eaux près de la Jamaïque, en traquant les navires marchands. Un jour, son bateau croise la route de l'un d'eux. C'est l'occasion pour Peter, le nouveau second de Jack, de faire son premier pillage. Une fois sur le pont, Jack dit à son second :
- Vite, va chercher ma chemise rouge !
Peter ne comprend pas mais s'exécute. Et l'abordage commence. L'équipage du navire marchand résiste, mais finit par céder. Le navire est pillé, et les hommes de Jack repartent avec le butin. Peter demande alors à Jack :
- Capitaine, pourquoi m'avez-vous envoyé chercher votre chemise rouge ?
- Vois-tu, dit Jack, si je suis blessé au combat, les hommes pourraient être découragés en voyant leur capitaine en sang. Avec ma chemise rouge, ils ne voient rien !
- Ah d'accord !
Deux heures plus таrd, le bateau fait face à toute une flotte d'une vingtaine de navires de l'armée britanique ! Ils ne peuvent pas reculer. Empli de terreur, Jack demande naturallement à Peter :
- Vite, va me chercher mon pantalon marron !
"Depuis plusieurs mois, nos infirmières avaient la désagréable surprise, tous les vendredi matin, de retrouver morts les patients en réanimation d'une certaine chambre.
Après une enquête épidémiologique poussée à l'intérieur de l'hôpital, aucune cause de ces morts anormales n'avait pu être trouvée.
Pourtant, à la suite d'une observation fortuite, il s'est avéré que chaque Vendredi matin, une employée de nettoyage passait dans la chambre et débranchait le respirateur artificiel pour pouvoir brancher sa nettoyeuse-cireuse à la place et ainsi faire son travail. Quand le sol était enfin propre, elle rebranchait le respirateur artificiel et quittait la pièce, inconsciente de ce que le patient était alors mort. Après tout, elle ne pouvait pas entendre les râles d'agonie avec le bruit de sa nettoyeuse...
Nous sommes terriblement désolés de cet état de fait, et nous avons envoyé une lettre très sévère à l'employée de nettoyage en question. De plus, nous avons pris contact avec un électricien pour que la pose d'une prise multiple nous évite à l'avenir de tels désagréments.
L'enquête est désormais close."