Un ingénieur, qui se cherche un job depuis très longtemps, trouve une solution à ce problème : Il décide d'ouvrir une nouvelle clinique médicale privée. Il place une pancarte dehors qui dit :
"Un remède à votre problème médical garanti pour 500 euros et on vous paye 1000 euros si on réussit pas."
Un vrai docteur, fâché de voir ceci, se dit qu'il va aller se faire 1000 euros sur le dos de cet ingénieur et entre dans la clinique. Il dit :
- J'ai perdu mon sens du goûter.
L'ingénieur répond :
- Infirmière ! Allez me chercher la trousse de soins 19 et allez me chercher trois gouttes dans la bouche du patient.
On lui met trois gouttes dans sa bouche, et le docteur crie :
- BEURK ! C'EST DU GAZ !
- Félicitations ! Vous avez retrouvé votre sens du goûter ! Ça fera 500 euros s'il vous plaît.
Le docteur vraiment fâché revient quelques jours plus таrd pour regagner son argent perdue :
- J'ai perdu ma mémoire, je ne me rapelle plus de rien.
- Infirmière ! Allez me chercher la trousse 19 et mettez 3 gouttes dans la bouche du patient.
- Attends une minute ! J'veux pas boire du gaz moi !
- Félicitations ! Vous avez retrouvé votre mémoire ! Ça fers 500 euros.
Le docteur encore plus frustré paye et sort de la clinique. Il revient plusieurs jours plus таrd, déterminé à regagner son argent. Il dit :
- Je perds ma vision, je ne vois plus rien...
- Désolé monsieur, nous n'avons pas de remède... Voici votre 1000 euros.
...
- Attends une minute ! Ça c'est un billet de 500 euros !
- Félicitations, vous avez retrouvé votre vision ! Ça fera 500 euros.

Avant de partir en voyage d’affaires pour trois semaines, un industriel dit à son fidèle majordome :
- Hippolyte, s’il y a le moindre problème pendant mon absence, appelez-moi, quelle que soit l’heure !
Après cinq jours, le patron appelle le majordome :
- Bonjour Hippolyte. Comme vous ne m’avez pas appelé, je présume que tout se passe bien ?
- Pas tout-à-fait, monsieur. Il y a eu une catastrophe !
- Bon sang ! Mais pourquoi ne m’avez-vous pas appelé ? C’est quoi cette catastrophe ?
- Le manche de la pelle de l’atelier est cassé, monsieur.
- Vous vous moquez de moi, Hippolyte ? Ce n’est pas une catastrophe ça ! Mais comment c’est arrivé ?
- En rebouchant le trou dans le jardin, monsieur.
- Mais quel trou dans le jardin, Hippolyte ?
- Celui pour enterrer Saturne, votre chien, monsieur.
- Comment ? Mon chien adoré est donc mort ? Que lui est-il arrivé ?
- Il est tombé dans la piscine, monsieur.
- Mais enfin, Hippolyte, Saturne est un terre-neuve. Il  n’a pas pu se noyer !
- Non, monsieur . Il s’est fracassé le crâne, car la piscine était vide.
- Mais…la piscine a été vidée, nettoyée, et remplie, il y a à peine un mois, Hippolyte !
- Oui, monsieur. Mais les pompiers  l’ont vidée pour éteindre l’incendie.
- Ah ? Il y a eu un incendie dans le quartier ?
- C’est le manoir de monsieur qui a brûlé, monsieur. Il est détruit à 50 %.
- Et…vous connaissez la cause de l’incendie, Hippolyte ?
- Oui monsieur. C’est une cigarette qui a mis le feu dans la chambre de monsieur, monsieur.
- Mais c’est impossible, vous savez bien que madame ne fume pas, Hippolyte.
- Oui, monsieur. C’est le monsieur qui était au lit avec madame, qui fumait, monsieur.
- Alors… je suis donc cocu ? Ecoutez Hippolyte, je ne suis parti que depuis cinq jours, et vous ne  me racontez que des catastrophes ! Vous n’avez donc rien de positif à m’annoncer ?
- Si, monsieur ! Monsieur se souvient-il d’avoir fait un test de dépistage du sida, il y a six semaines ?
- Oui, bien sûr !
- Eh bien, le test est positif, monsieur !