Trois amis, Paul, Jean et Martin meurent et rejoignent le Paradis. Avant d'y rentrer, Sаinт-Pierre leur dit :
- Le paradis est grand, vous devriez vous y déplacer en voiture. Tout dépendra de votre fidelité envers votre ancienne femme.
Toi, Paul, Je te donne une Twingo car tu n'as jamais été fidèle à ta femme.
Toi, Jean, je te donne une Scenic car tu as été infidèle à plusieurs reprises.
Toi, Martin, je te donne une Ferrari car tu as toujours été fidèle à ta femme.
Deux jours plus таrd, Paul et Jean voient Martin en train de pleurer.
Ils vont le voir et lui dit :
- Mais voyons, pourquoi tu pleures ? Tu devrais être content d'avoir une Ferrari !
Et Martin répond :
- Oui, mais j'ai vu ma femme passer avec une mobylette...
C'est un homme qui honore de plus en plus rarement son épouse. Un soir, ils sont au lit, madame feuillette ses magazines et monsieur lit un polar. A un moment, elle pose ses revues, dit воnnе nuit à son mari, et cherche le sommeil. Soudain, l'époux passe son bras sous la couverture, glisse sa main dans la culotte de sa femme, écarte les poils et entre son doigt dans l'entrée de la sortie! Il y reste dix secondes, puis retire vivement son bras de dessous la literie. Alors la femme dit :
- Qu'est-ce qui te prends ? Je commençais à avoir du plaisir. Pourquoi as-tu retiré ta main ?
- Ah, mais non. Je voulais juste mouiller mon doigt pour tourner ma page!
Alors l'épouse, décue et vexée, lui tourne le dos et cherche de nouveau à s'endormir. Deux minutes après, l'homme repasse son bras sous la couverture et attaque la face décachée de la lune. Il introduit son doigt et retire vivement son bras. Alors sa femme demande :
- Tu voulais encore tourner ta page ?
- Non, maintenent j'ai sommeil. Alors je vais marquer ma page!
Au lit l'autre soir avec ma femme, la température montait rapidement. Au moment de passer aux choses sérieuses, elle m'arrêta et me dit:
- "Non, mon amour, je ne le sens pas bien..."
Puis elle ajouta :
- "Je n'ai pas spécialement envie, je voudrais juste que tu me tiennes dans tes bras. Tu n'es pas assez en phase avec mes besoins émotionnels de femme pour que j'aie envie de satisfaire tes besoins uels d'homme !"
A mon regard ébahi, elle enchaîna :
- "Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je fais pour toi au lit".
Comprenant que rien ne se passerait ce soir-là, je n'insistai pas et je m'endormis. Quelque temps après, comme j'avais des congés à récupérer, je décidai de passer la journée avec elle. Après un dîner dans un petit restaurant sympa, je l'emmenai dans un grand magasin de mode où je l'invitai à essayer divers vêtements sous mon regard intéressé. Pendant un long moment, elle essaya tout ce qui tombait sous ses yeux et parada devant moi comme une star. Finalement, deux robes retinrent spécialement son attention. Comme elle ne savait pas se décider, je lui laissai entendre qu'elle prendrait bien les deux. A l'étage suivant se trouvait le rayon des chaussures : une paire neuve par robe semblait indispensable. Une jolie paire de boucles d'oreilles lui faisait de l'oeil : hop, dans le panier !
Croyez-moi, ses yeux brillaient de plus en plus ! Je la connais, je voyais monter en elle une forme d'excitation indescriptible. Elle voulut même me tester, voir jusqu'où j'irais, car elle s'intéressa aux bracelets de tennis. Elle n'a jamais tenu une raquette, mais bon... Je répondis oui. Puis il y eut quelques paires de bas, de la , un foulard, les rayons parfum et maquillage et quelques bricoles. Finalement, elle me regarda avec des yeux pétillants comme du champagne, et dit :
- "Ca va être cher tout ça, on passe à la caisse ?"
Quand je répondis :
- "Non, mon amour, je ne le sens pas bien..."
Son visage devint béat d'étonnement et sa bouche resta ouverte.
Je lui dis alors :
- "Je n'ai pas spécialement envie, je voulais simplement te voir habillée ainsi. Tu n'es pas assez en phase avec mes capacités financières d'homme pour que je puisse satisfaire tes désirs d'achats de femme."
Et comme elle me regardait avec des yeux assassins, j'ajoutai :
"Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je t'achète !"