Une tribu du Kenya vivait dans la terreur depuis plusieurs jours car un lion mangeur d'hommes rodait autour du village.
Le chef de la tribu envoya quelqu'un en ville pour ramener John Smith le grand chasseur blanc, l'homme dont la réputation était connue par delà les continents.
Plusieurs nuits de suite, le chasseur resta tapis à l'entrée du village, dans l'attente que le lion veuille bien se montrer, mais ce ne fut pas le cas. En désespoir de cause, le chasseur demanda au chef de la tribu de tuer une vache et de lui en donner la peau.
Enveloppé dans la dépouille du bovin, John Smith se posta à nouveau à l'entrée du village, bien en évidence, et attendit le fauve..
Au beau milieu de la nuit, les villageois furent réveillés par des hurlements à faire glacer le sang. Ils provenaient de l'endroit où le chasseur s'était posté.
Suivant leur chef, tous les villageois s'approchèrent et ils virent alors, couché sur le sol John Smith, toujours enveloppé de sa dépouille de vache, gémissant de douleur.
Pourtant, il n'y avait aucune trace du lion.
- Que s'est-il passé, bwana?" demanda le chef. Où est le lion?
- Le lion?! Mais ne n'ai pas vu de lion hurla le chasseur! Lequel d'entre-vous, bande de crétins, a libéré le taureau hier soir?
Au bureau de tabac du coin, une jeune et jolie buraliste vient de s’installer pour la première fois derrière son comptoir.
Quand se présente un type gros et adipeux qui soudain, devant elle, lève les mains en l’air en faisant semblant de palper de l’argent puis redescend ces mains pour se gratter les parties pour finir les mains en bas en simulant une маsтurватiоn. La jeune fille, surprise et courroucée, l’engueule :
- Mais enfin ! Ça va pas ? Qu’est-ce que vous voulez ? Espèce de pervers !
Le gros type se réexécute toujours sans un mot : il lève les mains en l’air en faisant semblant de palper de l’argent puis redescend ces mains pour se gratter les parties pour finir les mains en bas en simulant une маsтurватiоn.
Cette fois c’en est trop pour la jeune fille qui, outragée, part en courant voir son patron :
- Ecoutez, venez voir mais il y a un gros type obscène qui fait plein de geste dégoutant devant moi !
Et le patron, en voyant le type lui répond :
- Ne vous en faites pas ! C’est Robert, un sourd-muet. Il veut juste un Millionnaire, deux Morpions et un Solitaire…
Un grand chef indien assiste à une grande rencontre inter-tribu. Bien que très braves et valeureux, il soupconne les 21 chefs de chaque tribu de ne pas être vraiment le vrai chef quand ils sont dans leur propres tentes. Un peu inquiet pour le prestige de la fonction, il réunit les 21 chefs. Le grand chef dit:
"Hug, mes braves. J'ai entendu dire que certains d'entre vous, n'étiez pas capable d'être le chef de votre propre femme. J'aimerais savoir si cette rumeur est vrai. Mais pour respecter votre honneur et rendre la chose plus facile, lors de la grande réception réunissant les 21 tribus, j'aimerais qu'à la fin de la soirée, si c'est votre femme qui dirige dans votre foyer, quittez discrètement par la sortie gauche du village. et si c'est vous qui diriger le foyer, quittez discrètement par la sortie droite du village. Je vais vous surveiller.
Plus таrd dans la soirée, pendant que les 21 tribus s'amusaient, le plus impressionnant des 21 chefs se lèvent et prend la sortie gauche. Stupéfaction du grand chef. Puis un autre, et un autre, et un autre. Bref 20 des 21 chefs ont sorti en utilisant la sortie gauche du village. Découragé le grand chef regarde le dernier des chefs. Celui-ci se lèvent fièrement et prend la sortie de droite. Soulagez le grand chef se promet de souligner l'évènement à la prochaine rencontre en honorant publiquement ce brave des braves auprès des autres chefs.
Le lendemain, le grand chef commence son discours:
"J'aimerais souligner un homme exceptionnel qui a eu le courage hier de prendre la sortie droite. Pour notre encouragement à tous, explique publiquement pourquoi tu as sorti par la droite (contrairement aux 20 autres chefs)?"
Et le 21e chef de répondre:
"Ben pour la réunion des 21 tribus, ma femme m'avait dit spécifiquement de ne pas faire encore comme les autres chefs."
Un homme va voir son docteur pour lui demander conseil :
- Doc, ma femme ne veut plus faire l'amour depuis plus de 7 mois!
- Je vois, demandez-lui de venir me voir.
La femme rencontre le docteur et ce dernier lui demande pourquoi elle ne veut plus faire l'amour avec son mari. La femme :
- Depuis 7 mois, je prends le taxi chaque matin pour aller au travail. Je ne fais pas beaucoup d'argent, alors le chauffeur de taxi me demande toujours: Alors, vous allez me payer aujourd'hui ou quoi? Et comme je n'ai pas assez d'argent, je lui donne toujours le "ou quoi", vous voyez ce que je veux dire... Ce petit jeu me fait arriver en rетаrd au travail, alors mon patron me demande: Voulez-vous que je coupe votre salaire ou quoi? Et oui, je donne encore un "ou quoi"... Lorsque je reviens du travail, je prends encore un taxi et le chauffeur me demande: Allez-vous me payer cette fois-ci ou quoi? Encore un "ou quoi". Vous voyez, alors quand j'arrive à la maison je suis tellement épuisée que je ne veux plus de sexe de mon mari...
Le docteur:
- Je comprends. Maintenant allons-nous le dire à votre mari ou quoi ?
Flux de l'information dans l'industrie du logiciel
Programmeur au Chef de Module :
"Nous ne pouvons pas faire le projet proposé. ** C'EST IMPOSSIBLE **.
Cela impliquerait un changement majeur dans la conception et personne dans notre équipe ne sait comment ce système a été conçu. D'ailleurs, personne ici dans l'équipe ne sait dans quel langage cette application a été écrite. Ainsi même si quelqu'un veut y travailler, il ne le pourra pas. Si vous demandez mon avis personnel, la société ne devrait jamais prendre ce type de projets."
Chef de Module à Chef de projet :
"Ce projet impliquera un changement de conception. Actuellement, nous n'avons pas de personnel qui a l'expérience de ce type de travail.
Il y a aussi le fait que le langage dans lequel l'application a été écrite nous est peu familier, donc nous devrons prendre des dispositions pour que notre personnel suive certaines formations si nous acceptons ce projet. A mon avis, nous ne sommes pas prêts à prendre en charge un projet de cette nature.
Chef de projet à Junior Manager :
"Ce projet implique un changement de conception du système et nous n'avons pas beaucoup d'expérience dans ce secteur : peu de personnes de notre société sont convenablement formées pour cela. Pour mon avis personnel, nous pourrions être capables de faire le projet mais nous aurions besoin de plus de temps qu'à l'habitude pour l'achever."
Junior Manager à Senior Manager :
"Ce projet implique une ré-ingénierie de conception. Nous avons quelques personnes qui ont travaillé dans cette activité et d'autres qui connaissent le langage de réalisation. Ainsi, ces personnes pourront former d'autres personnes de la société. Personnellement, je pense que nous devons prendre ce projet, mais avec des réserves."
Manager Senior à PDG :
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Un jour, je sors du restaurant et j'aperçois un policier qui rédige une contravention.
Je m'approche et lui dis :
- Je ne suis resté que cinq minutes chez le boulanger. Ne pouvez-vous pas annuler cette contravention?
Il m'ignore superbement et continue à écrire.
- Espèce d'emmerdeur, ne puis-je m'empêcher de lui dire.
Et voilà qu'il dresse une autre contravention pour absence de plaque réfléchissante à l'avant du véhicule.
Mon sang ne fait qu'un tour et je l'engueule copieusement :
- Оsтiе de raté, sous-produit de débile, маudiт chien, impuissant, analphabète, hémorroïde hypertrophiée et j'en passe!
Ah, là, j'ai bien utilisé toutes les richesses de mon vocabulaire. Cela continue encore un quart d'heure, et le flic, sans sourciller, accumule les contraventions sous l'essuie-glace.
Je constate que tout cela ne nous mène à rien et je jette l'éponge.
Alors, suite au départ de l'agent, je marche tranquillement vers ma voiture, garée deux rues plus lоin, laissant le plaisir à mon patron de découvrir sa voiture en sortant du restaurant...
Zé se présente dans un grand magasin pour une place de vendeur. Le chef de rayon lui demande s'il a de l'expérience.
- Si j'ai de l'expérience, ahiiiii. Mais je suis le roi de la vente.
Sur la tête de ma mère, y'a pas meilleur vendeur que moi.
Je vendrais des patins à roulettes à un cul de jatte tellement je suis bon...
- Et tu as des références ?
- Oh, lui, je suis marseillais! Alors la tchatche, ça me connait! C'est pas une référence ça ?
Le chef, goguenard, décide d'essayer le Zé pour la journée, histoire de voir.
Le soir, il revient vers son nouveau vendeur : - Alors, Zé, combien de clients aujourd'hui ?
- Un seul
- C’est pas très brillant ça, pour un roi de la vente. Et quel montant ?
- 100...
- 100 quoi ? 100 cacahuètes ?
- Il est pas beau lui? 100 000 Euros, bien sur !
- Quoi ? 100 000 Euros ? Mais... comment ça ? À un seul client ? Comment tu as fait ça ?
- Facile ! Un type se présente et je lui ai vendu un hameçon.
Puis je lui ai proposé un petit lancer et une série de mouches.
Et comme je lui ai dit qu'il peut pas pêcher sans être bien équipé, je lui ai vendu aussi la grande canne avec la ligne et les bouchons et aussi un moulinet.
Après, pour pas qu'il passe pour un plouc devant les autres pêcheurs, je lui ai vendu l'équipement, les bottes, le ciré et le bob.
Et puis je lui ai demandé où il comptait aller pêcher.
Il m’a dit : sur la côte.
Alors, je lui dit qu'il ferait bien d'acheter un bâteau pour pêcher au large, et je lui vendu un hors-bord de 8 mètres avec deux moteurs...
Ensuite, je lui ai demandé comment il allait emmener son bateau sur la côte.
Y savait pas, alors je lui ai vendu une remorque et un 4x4 pour tracter le tout Et puis on a fait les comptes.
Ça faisait 102 000 Euros. J'y ai fait un prix à 100 000. Il a signé. c’est tout.
Le chef est ahuri, assis par terre, il n'en croit pas ses oreilles :
- Tu as vendu un bateau et un 4x4 à quelqu'un qui venait pour acheter un hameçon ?
- Heu... En fait pas vraiment.
Le client venait pour acheter une boite de tampons pour sa femme, alors je lui ai dit : - Foutu pour foutu, pourquoi vous iriez pas à la pêche ?
Jésus a choisi Marseille pour revenir sur Terre.
Afin de trouver du monde et se faire connaître, il entre au Bar des Platanes.
- Bonjour mes frères, je suis Jésus de Nazareth, je suis redescendu sur Terre pour vous sauver...
- Allez ça va… dégаgе! Pas de mendigots, ici ...
Va faire ton cirque ailleurs, bouche !
- Tu ne me crois pas ? Que puis-je faire pour te convaincre.
- He be si t'es Jesus, je sais pas, moi ! Fais un miracle...
Un vieux papet se dirige avec deux cannes vers la table de contrée.
Quand il passe à coté de lui, Jésus lui met la main sur l'épaule et
voilà le papet qui lâche ses cannes et marche à la oineugaine...
- Tcheudeu, je le crois pas..., fait le patron, tu peux nous refaire un autre truc ?
Jésus soupire : - Homme de peu de foi, tu veux encore une preuve ? Soit...
Un aveugle boit tranquillement son pastis au comptoir.
Jésus lui met la main sur les yeux et l'aveugle aussitôt de dire :
- Fatche, Loule, tu pourrais au moins refaire la déco de ton bar.
Ca craint… Loule, le patron, est sans voix.
Jésus lui dit : - Me crois-tu maintenant ?
- Si tu fais encore un miracle, on te croit, parole...
Jésus s'approche de Zé qui est dans un coin en train de lire la Provence.
Dès qu'il le voit arriver, Zé se met à hurler :
- Рuтаin, ne me touche pas, NE ME TOUCHE PAS !!!
- Mais pourquoi as-tu peur, mon frère.
Je ne te veux aucun de mal, seulement te guérir..."
- Me guérir ? Tu veux ma mort oui !
Écoute, je suis employé à la Sécu.
Ça fait quatre mois que je suis en arrêt maladie.
Et j'ai bien l'intention que ça dure encore un peu...
Zé vient de trouver du travail chez Ricard. Coup de bol, il est à la production dans l’atelier qui fabrique le "fly".
Le bonheur ! C'est Titin qui lui montre le boulot à faire :
- Alors tu vois, tu prends les caisses là de bouteilles, tu montes sur la passerelle et tu les portes au la-bas de l’autre coté.
Et tu fais gaffe, sur la passerelle, hein, ça glisse. T'y as compris ?
- Et vouais, j’ai compris... je prends les caisses, je traverse et voilà !
- Et tu fais gaffe !!!
- Eh vouais, je fais gaffe ! Tu me prend pour un anglais ou quoi ?! Regarde ...
Et le Zé encape la première caisse, enquille la passerelle.
En haut, il se met à faire le James.
Il se galège, il est estrassé de rire...
Titin a beau lui beugler de faire méfi...
Zou, ça loupe pas, voilà le Zé parti les quatre fers en l'air.
Il lache la caisse, se desbaousse par dessus la rambarde et le teston en premier, file droit dans l'énorme cuve de pastaga qui était juste en dessous.
Titin, ni une ni deux, file à toute blinde direct dans le bureau du chef :
- Chef, Chef, y a Zé, le nouveau, il est dans la cuve de 51. La pleine.
- Oh fatche... Il est remonté ?
- Oui, oui, Chef. Il est remonté et même qu'il a dit : "Et, mon vier !"
- D'accord, et après ? Il est sorti ?
- Sorti ? Vous rigolez, chef... Après il a demandé des olives et il a replongé.