Un pasteur américain traverse les États-Unis en voiture. Il s’arrête dans un hôtel-restaurant et monte dans la chambre qu’il vient de louer. Sur la table de chevet, il trouve une bible, comme c’est souvent le cas dans ce pays.
Il lit quelques pages de la Bible, puis descend au bar. Là, il drague la barmaid et cette dernière accepte de monter dans la chambre du pasteur.
Ils se mettent au lit, mais la fille demande :
- C’est peut-être mal de faire ça ?
- Mais non, répond le pasteur, c’est écrit dans la Bible.
Ils passent la nuit ensemble et au petit matin la fille questionne de nouveau le pasteur.
- Montre-moi donc où c’est écrit dans la Bible.
- Tiens, regarde, dit le pasteur, qui ouvre la Bible et sort un petit papier laissé là par un voyageur précédent :
- « La barmaid accepte pour 30 dollars ».
Une femme va consulter un médecin.
- Docteur, je ne sais pas ce qui m’arrive, j’ai des écoulements…
- Déshabillez-vous, Madame, ordonne le médecin, allongez- vous et écartez les jambes !
La dame s’exécute sans un mot et le médecin entreprend une exploration vaginale. Dix minutes plus таrd, il a terminé.
- Vous pouvez vous rhabiller, Madame. Vous vous sentez mieux ?
- Oh oui, Docteur, beaucoup mieux ! Maintenant si vous pouviez vous occuper de mon écoulement, c’est dans l’oreille droite…
Un petit garçon se promène avec le curé dans les rues du village, ce dernier se charge de l’évangéliser. Il lui dit :
- Tu verras, Dieu est bon, mon petit. Jésus aussi est bon…
À un moment, ils passent devant une maison où une femme est en train de nettoyer ses vitres, mais elle a malheureusement oublié de mettre une culotte…
Le petit garçon demande au curé :
- Hé, mon père ! C’est quoi qu’elle a là, la dame ?
- Eh bien… Pfff… Heummmm… Eh bien, vois-tu, mon fils, c’est l’œil du Seigneur.
- Ben ça alors, il a de gros sourcils, hein !
Dans une petite paroisse de campagne, un abbé vient d’être nommé pour aider le curé. Le jour de son arrivé, il est accueilli par son supérieur qui le met tout de suite au courant de ses activités :
- Ici, les journées sont simples, elles se déroulent toujours de la même manière. Vous vous lèverez à quatre heures et demie. À cinq heures, vous vous occupez du jardin du presbytère, vous ouvrez l’église et vous y faites un peu de ménage. À six heures et demie, vous dites la première messe. À sept heures quarante-cinq, vous allez au couvent des sœurs de Sаinт- Vincent-de-Paul pour la confession. Vous en avez pour un moment, là-bas. Vers neuf heures, vous revenez ici faire le catéchisme aux enfants. À dix heure trente, vous allez visiter les malades à l’hôpital. À midi, vous revenez préparer le déjeuner, faire un peu de ménage et mettre la table. Après le repas, vous devrez me lire mon bréviaire car ma vue baisse et, pendant que je me repose, vous vous occuperez des linges sacerdotaux : lavage et repassage. À trois heures, visite de l’hospice des vieillards. À cinq heures, c’est l’heure de la confession pour les paroissiens. À sept heures, vous dites la messe du soir. À huit heures, vous revenez préparer le dîner. À neuf heures, vous faites la vaisselle et vous rangez le presbytère. À dix heures, vous préparez mon sermon pour le dimanche suivant. Je pense que ce programme vous convient. Des questions ?
- Oui. Dites-moi, est-ce que vous avez de la farine ?
- Oui, bien sûr ! Mais pourquoi me posez-vous cette question ?
- Eh bien parce que, entre onze heures et quatre heures et demie du matin, j’aurais peut-être pu faire du pain !
Nous sommes en Belgique. Un Français passe devant le tribunal.
- Vous êtes accusé d’avoir traité votre воnnе de conne, accuse le président belge.
- C’est exact, rétorque le français. Mais si j’ai dit cela, c’est que ma воnnе est véritablement conne.
- Prouvez-le, demande le président belge.
- Toi, la воnnе, va voir à la maison pour voir si j’y suis, lance tout haut le français.
À cette demande, la воnnе quitte sa chaise et sort du tribunal.
- Vous voyez bien qu’elle est conne, dit le français.
- C’est vrai, dit le président belge, car moi, à sa place, j’aurais téléphoné.