Un homme va voir un médecin :
- Docteur, je n'en peux plus. J'ai des douleurs atroces. Ca part du milieu du dos, ça remonte jusqu'à mon épaule gauche, ça traverse mon buste et monventre en diagonale, ça arrive dans l'aine et ça diffuse jusque dans les genoux. Je ne peux presque plus marcher!
Le médecin l'examine longuement et déclare :
- Désolé, mais c'est assez grave. On n'a pas de nom précis sur cette maladie, mais on sait la guérir. Le problème c'est que l'unique remède est de vous enlever les testicules!
- Comme vous y allez, docteur! J'aimerais avoir un second avis.
L' homme se rend chez un médecin très réputé, et explique :
- Docteur, je n'en peux plus. J'ai des douleurs atroces. Ca part du milieu du dos, ça remonte jusqu'à mon épaule gauche... Etc... Etc.
- Ce n'est même pas la peine que je vous examine, dit le médecin. Je connais très bien ce cas qui n'affecte que les hommes.  Cette maladie est de plus en plus fréquente. Elle n'a pas de nom, mais on sait la guérir. Le malheur, c'est qu'il n'y a qu'une solution, c'est l'ablation des testicules.
Devant l'assurance du médecin, l'homme se résoud à l'opération, car la douleur est de plus en plus insupportable.
Il se fait donc opérer, et sort de l'hôpital  10 jours après,  sans plus aucune douleur. Il se dit :
- J'ai pris la воnnе décision. Mais je n'ai plus grand chose à attendre de la vie. Alors, pour me consoler, je vais taper dans mes économies et me faire plaisir. Pour commencer, je vais réaliser un vieux rêve : me faire confectionner un costume sur mesure.
Il se rend chez un tailleur de renom, choisit un beau modèle et la plus belle étoffe.
Le tailleur lui dit :
- Votre costume sera prêt dans une quinzaine, monsieur. Mais auparavant, dites-moi, vous portez à droite ou à gauche ?
- A vrai dire, je ne porte plus du tout. Mais pourquoi me demandez-vous celà ?
- Ah, mais monsieur, un tailleur digne de ce nom doit toujours poser cette question à ses clients. Car si vous portez à droite et que je vous fais un pantalon pour  quelqu'un qui porte à gauche, vous allez avoir une douleur qui partira du milieu de votre dos, qui remontera jusqu'à votre épaule gauche, qui traversera votre buste et votre ventre en diagonale, qui descendra jusqu'à l'aine et diffusera dans vos genoux.
Aux portes du paradis, un nouvel arrivant commence son récit:
- Cela faisait un certain temps que je soupçonnais ma femme d’avoir une relation extra conjugale. Je suis donc rentre chez moi à l’improviste et évidemment, je l'ai trouvé complètement nue sur le lit. J’ai immédiatement fouillé l'appartement pour trouver le coupable. En vain. Et puis, je me suis souvenu qu'habitant le 15ème étage d'une tour, nous disposions d'un petit balcon. J'ai donc ouvert la porte-fenêtre et c'est la que j'ai vu cet homme suspendu dans le vide et s'agrippant à la rambarde du balcon. Je lui ai piétiné les mains pour qu'il tombe, mais il tenait bon. Alors je suis parti chercher un marteau. A grands coups sur chaque main, il a fini par lâcher prise. Mais un arbre a amorti sa chute. Voyant qu 'il bougeait encore, j'ai attrapé le réfrigérateur de la cuisine et je l'ai fait basculer sur cet individu. L 'effort a été si violent que j'ai succombé à une crise cardiaque. Et donc me voilà.
- Ah bon ! Répond St Pierre passionné.
- C 'est bon vous êtes admis au paradis. Un second homme se présente peu après et commence à raconter l'histoire de sa mort a St Pierre:
- Voyez-vous, débute-t-il, j'étais en train de repeindre mon balcon au 17eme étage d'une tour. Mon tabouret a vacillé et j'ai basculé dans le vide. Mais j'ai eu la possibilité de me rattraper à un balcon, deux étages plus bas. Je pensais être sauvé quand le propriétaire de ce balcon a commencé à me piétiner les mains puis à me casser les doigts à coups de marteau. Il était fou furieux que je m’accroche à son balcon. Et pire, lorsque j'ai lâche prise, comme je ne suis pas mort tout de suite, il m'a balancé son frigo sur la tête pour m’achever. St Pierre :
- Oui, j'ai entendu parler de cette histoire, vous pouvez entrer au paradis. Un troisième homme arrive et entame, lui aussi, son récit à St Pierre:
- Franchement, je ne sais pas comment c'est arrivé ! J’étais caché à poil dans un frigo et me voilà !!!