Blagues sur les personnes âgées, Blague Vieux
C'est un vieux, très très vieux qui a dépassé les 116 ans. Il prend la place du doyen de l'humanité, qui vient tout juste de décéder. Le petit vieux vit dans une maison de retraite, completement paumée en plein campagne. Un tel événement attire donc moults journalistes locaux qui voient là une occasion en or d'avoir la une de leur journal en interviewant le petit vieux.
Un journaliste se déplace et s'attele à la tâche, il demande au vieux:
- Alors mon cher René, comment allez vous ?
- Ça va, ça va... écoutez on fait avec.
- Vous voilà désormais doyen de l'humanité ! Quelle nouvelle extraordinaires !
- Et ben écouté, oui, je ne m'y attendais pas à vrai dire..
- Quel est votre grand secret mon cher René ? Demande alors le journaliste.
- Et ben dans ma jeunesse, j'ai pratiqué une fellation à un homme juste pour une montre ! Là, le journaliste, un peu surpris, lui précise :
- Pour votre longévité je voulais dire..
Un jeune journaliste, pour sa première pige, va dans une maison de retraite et interviewe celle qui semble être la doyenne et qui doit être largement centenaire. Il pose THE question, LA question originale à laquelle personne n'avait jamais pensé :
- À quoi attribuez-vous votre longévité ?
- À une hygiène de vie irréprochable : toute ma vie, j'ai mangé raisonnablement, je n'ai jamais fumé, un peu de vin aux grandes occasion, du sport deux fois par semaine, et pour la "bagatelle", juste ce qu'il faut, fe temps en temps.
Le journaliste voit alors passer près d'eux une petite vieille encore plus décatie : plus de dents, tremble de partout, marché avec un trépied, etc. Elle intervient, d'une voix chevrotante :
- Et bien moi, toute ma vie, j'ai bu comme un trou, fumé comme une cheminée, mangé comme une ogresse et baisé comme une cochonne !
- Oh ! Et vous avez quel âge ?
- 32 ans...
C'est l'histoire d'un vieux monsieur qui est atteint de la maladie d'Alzheimer.
Son fils qui l'aime beaucoup, mais qui n'en voit plus le bout décide avec l'accord du père de le placer dans une maison de retraite médicalisée.
Le jour de la séparation arrive.
Le fils et son vieux se retrouvent dans le bureau de direction en compagnie de la directrice et d'une infirmière.
Pendant que le fils signe les papiers, le vieux se penche tout doucement sur son côté vers la droite.
L'infirmière bondit et vient arrêter le mouvement in extremis.
Quelques minutes plus таrd, le vieux recommence à pencher, cette fois-ci vers la gauche.
Encore une fois, l'infirmière bondit et parvient à arrêter la bascule du vieux dans sa course.
Quelques temps plus таrd, le corps du vieux se met à pencher en avant.
Cette fois-ci, l'infirmière l'attache carrément à sa chaise.
À ce moment, le fils a fini de remplir les papiers.
Il se lève et demande à son père :
- Alors papa, tu vas te plaire ici ?
Et le vieux répond :
- Ouais, je pense. Mais à mon avis, ils me laisseront jamais péter tranquillement.